Le concepteur lumière Stu Dingley a mis en place un mur de lumière pour le rappeur d’Atlanta
Le concepteur lumière britannique Stu Dingley a été contacté pour travailler à ses côtés à la création des éclairages par Meggan Mckenzie, directrice créative du rappeur Young Thug d’Atlanta Il s’est plongé sans plus tarder dans la boîte à outils de GLP et a choisi d’utiliser abondamment la barre X4 Bar 20 et le stroboscope hybride JDC1.
« Tout d’abord, dit-il, nous voulions pouvoir former une boîte et clôturer la scène, mais nous voulions aussi garder suffisamment de puissance dans le gril pour les moments très énergiques. Comme l’affiche de la tournée était partagée avec le groupe Machine Gun Kelly, nous avons intégré un peu de notions de mouvements et d’automatiques afin de donner aux artistes deux espaces scéniques différents sous la même implantation d’éclairage. »
Le JDC1 représentait le cœur de ce concept. « Je pense que ce sont probablement les meilleurs projecteurs stroboscopiques en ce moment, et nous les avons utilisés avec les X4 Bar, les seules barres LED qui permettent de créer ce mur de lumière sans discontinuité pour la « cage ». »
Le loueur/prestataire, LMG (Orlando), a fourni les 51 X4 Bar 20 et les 32 JDC1. Les X4 Bar formaient la « cage » et surlignaients les bords de l’espace scénique, tandis que les JDC1 étaient accrochés sur deux ponts de 6 mètres, d’ailleurs le gril et les ponts étaient motorisés.
Parlant des performances des appareils GLP, Stu Dingley a confirmé que « les JDC1 ont très bien fonctionné, déjà en tant que comme Wash en position douche, puis, lorsque les ponts étaient positionnés à angle droit à 45°, l’élément stroboscopique central a réellement fourni beaucoup d’énergie. »
Concernant GLP en tant que fabricant de façon plus générale, il a déclaré : « C’est une société très innovante et son offre de produits apporte régulièrement quelque chose de différent sur notre marché. Le JDC1 a indubitablement changé les règles pour les stroboscopes hybrides, tout comme la série X4 Bar l’avait fait auparavant. »
James Washer, directeur de l’éclairage et pupitreur sur une grandMA2, a accompli un travail remarquable, a précisé Stu Dingley. « Il y avait plus de 50 morceaux à programmer et assez rarement une liste à suivre… Et tout ça sans Time Code, du fait de la nature imprévisible des concerts. »